Les HP de type hyperempathique ont plus de risque de tomber dans les filets d’un.e pervers.e narcissique.
Ils/elles sont ouvert.e.s à la différence de fonctionnement, s’interrogent sur un malentendu ou une déconvenue avant de juger, cherchent à comprendre et sont happé.e.s émotionnellement par le petit enfant perdu caché au fond du PN qui demandent à être sauvé.
Ils/elles peuvent donc rester longtemps dans une relation d’emprise, que ce soit au travail, en amitié ou en couple, avant de prendre conscience de ce qui se joue.
Mais leurs particularités cognitives et émotionnelles leur permettent aussi de se défaire et de cicatriser plus facilement de ce genre de relation.
Quant aux PN, certains profils présentent une intelligence, une mémoire et une capacité à cerner autrui qui rappellent des traits haut potentiels. En réalité, ce sont des HPI qui ont connu un psychotraumatisme dans l’enfance qui a dévasté leurs capacités émotionnelles. Je décris ces différents éléments et bien d’autres encore dans mon livre « Emprise et perversion narcissique au sein du couple« .